Pour le meilleur et surtout le pire : éclairage sur les violences conjugales
La violence conjugale touche une femme sur sept en Belgique[1]. On le sait, cette violence frappe partout mais, on le sait également, il existe des facteurs qui favorisent les tensions intra familiales
Avec le confinement lié à la crise sanitaire, les organisations en charge de cette problématique ont constaté une augmentation de ces violences.
Pour instruire cette question, nous nous sommes penchés sur les travaux du projet DPO[2], à l’initiative de la Fédération Laïque des Centres de Planning familial, qui peuvent être utiles pour détecter, prendre en charge adéquatement et orienter ces femmes.
Cet article ne prend pas en compte la question spécifique des violences sexuelles, qui pourrait à elle seule faire l’objet d’un autre article mais qui peut tout de même être éclairée par les éléments qui vont suivre.
[1] Estimation 2010 de l’Institut pour l’Égalité des Femmes et des Hommes : « en Belgique, une femme sur sept avait été confrontée à au moins un acte de violence commis par son (ex-)partenaire au cours des 12 mois précédents ».
[2] Détection, Prise en charge, Orientation - Violences conjugales et sexuelles.